De Namur à Bruxelles : quand un chapitre s’ouvre sur un roman

Après quelques essais en bioingénierie puis en droit, Alexandre met ses études entre parenthèses et plonge dans le monde du travail. Rapidement embauché à temps plein, il gravit les échelons jusqu’au poste d’assistant manager. Mais ce sont surtout ses collègues qui l’amènent à voir plus loin.

« Ce chapitre est trop petit pour l’histoire que tu as à écrire. »

Il a pris ce conseil à cœur et s’est lancé un nouveau défi : reprendre ses études en sciences économiques. Tout en travaillant à temps plein, il redouble d’efforts, repoussant ses limites jour après jour. Et sa persévérance finit par porter ses fruits : une nouvelle porte s’ouvre chez ING. « J’adore vraiment la culture de l’entreprise, et je prends un vrai plaisir dans ce que je fais au quotidien », confie-t-il.

D’un premier pas à un vrai impact

Alexandre poursuit aujourd’hui son parcours au sein du volet Finance de l’ITP. Il intervient actuellement dans l’équipe Finance Business Advice, où il partage son temps entre les pôles Consolidation, Retail et Business Banking. Sa mission principale : suivre de près l’évolution de la principale source de revenus de la banque et mettre en place des actions correctives pour assurer le bon alignement avec les objectifs d’ING. Mais son expérience la plus marquante remonte à sa précédente rotation, consacrée au reporting ESG.

« Voir ce rapport imprimé, en sachant que j’avais contribué à quelque chose d’aussi important, a été pour moi un moment de fierté et d’émotion. »

Rien n’est jamais hors de portée.

Si Alexandre a incontestablement renforcé ses compétences techniques, c’est en lui que s’est produit le plus grand changement. « J’ai été sincèrement surpris par la force du parcours ITP. Il m’a fait prendre conscience que très peu de choses sont réellement inaccessibles. Je repense souvent à cette phrase qui m’a profondément marquée : ajoute “pas encore” à tout ce que tu crois ne pas savoir faire. »

« Si tu y consacres assez d’énergie et de temps, tu peux y arriver.
C’est ce que l’ITP m’a appris. »

Là où ses ambitions professionnelles visaient autrefois la stabilité, elles ont aujourd’hui évolué. « Avant l’ITP, je recherchais le confort. Maintenant, je veux des défis, du changement. Je veux évoluer. Je me lève le matin avec le sourire à l’idée d’aller travailler, et ça, ça change tout. »

Courir vers la prochaine destination

Une rotation internationale se profile à l’horizon, mais Alexandre, passionné de course à pied, n’a pas encore arrêté sa destination. « Les Philippines ? Londres ? Les Pays-Bas ? Je ne sais pas… Parfois, trop de choix, ça en devient presque dangereux », plaisante-t-il. Lorsqu’on lui demande ce qu’il retient le plus de l’ITP jusqu’ici, Alexandre n’hésite pas une seconde.

« La liberté. Les gens. L’état d’esprit.
C’est un environnement où l’on t’encourage à grandir
et où les autres t’aident réellement à le faire. »

D’après Alexandre, la communauté ITP en Belgique ne manque pas d’initiatives : sessions de learning, sorties au restaurant, matchs de padel, ou encore déjeuners culturels où chacun partage les saveurs de son pays. « Demain, on a une session bien-être au bureau », sourit-il. « Et bien sûr, on ira boire un verre tous ensemble après ».

Un message à destination de la future communauté ITP :
Dégaine ta carte ITP et ose !

« Être un ITP ouvre énormément de portes », explique Alexandre. « C’est une vraie raison d’oser. Tu peux contacter des senior leaders, proposer un café, ou demander un rendez-vous avec quelqu’un que tu n’aurais jamais osé approcher autrement. Moi, j’ai même envoyé un mail au CFO récemment, juste pour échanger sur ma prochaine rotation. »